Les Conseillers

Parlez-nous de vous…

J’ai 68 ans et aujourd’hui je profite pleinement de ma retraite.
J’ai obtenu mon diplôme d’éducatrice de Jeunes Enfants en 1974. Cela m’a permis de travailler à Auray dans un centre pour enfants malentendants. Mon mariage m’a ramené sur Pommerit Le Vicomte où j’ai commencé à travailler comme secrétaire au cabinet médical avec Docteur RÉBILLÉ et Docteur SAIZOU de 1978 à 2015.

Racontez-nous votre vie d'élue qui a commencé le 15 mars dernier...
En effet, je suis élue depuis mars 2020. Je fais partie de diverses commissions au sein de la commune qui sont les affaires scolaires et périscolaires, les espaces publics, la gestion du personnel, les études de demandes de subventions ainsi que la commission finances.
Selon moi, un élu doit savoir dégager du temps pour s’investir dans la vie communale. Il faut également être à l’écoute et aimer travailler en équipe.

Depuis quand êtes-vous à Pommerit Le Vicomte ?
J’habite à Pommerit Le Vicomte depuis 1956.

Depuis toutes ces années au sein de la commune, vous avez bien quelques petites anecdotes à nous raconter ?
Oui, plusieurs me viennent à l’esprit.
Tout d’abord des souvenirs de jeunesse, tous les 15 jours ou le jour des vacances scolaires, nous avions des projections de séances de cinéma dans la cantine de l’école publique. Nous regardions des films de Charlot ou de Laurel et Hardy… Ces séances étaient toujours très attendues !!!
Je me souviens également du jour de l’inauguration du transformateur qui envoyait l’électricité dans le quartier du Paradis, en 1956 ou 1957 peut-être ? Tous les hommes du quartier y étaient partis tout l’après-midi. Le soir, à leur retour, nous les attendions devant la cheminée à Pouldu, certains sont d’ailleurs rentrés très gais… et aussi fatigués. L’un d’eux s’est même couché sur le sol devant la cheminée. Nous étions encore de jeunes enfants et avions été très impressionnés devant ce débordement festif. Peu de temps après cette soirée mémorable, cet homme devait passer chez nous. Avant sa venue, mon frère a demandé innocemment à ma mère « Sera-t-il encore saoul ? ».
Cette inauguration aura marqué ma mémoire !

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